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Lounis Aït Menguellet
25/06/2005 00:14
KATEB YACINE disait de Aït Menguellet: "Il est incontestablement notre plus grand poète.
C'était en 1967, Lounis Aït Menguellet avait tout juste dix-sept ans quand il passa pour la toute première fois dans une émission radio. C'était alors "les Artistes de demain" assurée par Cherif Kheddam. Notre jeune poète y interpréta Ma trud (Si tu pleures). Celui qui avait l'habitude de chanter entre copains sous le clair de lune d'Ighil Bwammas, son village natal, devient, en quelques mois, cet idole qui bouleverse les coeurs. La transition vers la chanson engagée n'est pas aussi brutale qu'on le dit : l'ébauche de ce que sera plus tard son oeuvre est esquissée dès la première chanson Idaq wul (le Coeur oppressé). Plus tard, il rouvre le dossier de l'amour pour le clore avec Tayri (l'Amour). Dans l'intervalle, il se livre à un jeu de mots dans la chanson Qim deg rebbi-w (Mets-toi sur mes genoux !) s'adressant en fait à sa guitare. Il donne le ton à partir de la chanson Ali d waâli (Fin des années 70) qui retrace l'itinéraire d'un despote. Son style ira en s'affirmant avec des chansons fondatrices comme Agu (le Brouillard), Tibratin (Missives)... Certains thèmes comme la fraternité, la désunion utilisés dans ces titres seront repris plus tard. A titre d'exemple, les allégories déjà sollicitées dans Lxuf (la Peur) en 1981-1982 reviennent dans son dernier album. Aït Menguellet a chanté divers thèmes qui confèrent à sa poésie la totalité qui lui vaut d'être apprécié par tout le monde
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TIZI OUZOU
25/06/2005 00:18
c'que t'es belle en pleine nuit!!
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Sale caractère
25/06/2005 00:24
Il était une fois un garçon avec un sale caractère. Son père lui donna un sachet de clous et lui dit d'en planter un dans la barrière du jardin chaque fois qu'il perdrait patience et se disputerait avec quelqu'un. Le premier jour il en planta 37 dans la barrière. Les semaines suivantes, il apprit a se contrôler, et le nombre de clous plantés dans la barrière diminua jour après jour : il avait découvert que c'était plus facile de se contrôler que de planter des clous. Finalement, arriva un jour où le garçon ne planta aucun clou dans la barrière. Alors il alla voir son père et il lui dit que pour ce jour il n'avait planté aucun clou. Son père lui dit alors d'enlever un clou dans la barrière pour chaque jour ou il n'aurait pas perdu patience. Les jours passèrent et finalement le garçon put dire à son père qu'il avait enlevé tous les clous de la barrière. Le père conduisit son fils devant la barrière et lui dit: Mon fils , tu t'es bien comporté mais regarde tous les trous qu'il y a dans la barrière. Elle ne sera jamais comme avant. Quand tu te disputes avec quelqu'un et que tu lui dis quelque chose de méchant, tu lui laisses une blessure comme celle-là. Tu peux planter un couteau dans un homme et après le lui retirer, mais il restera toujours une blessure. Peu importe combien de fois tu t'excuseras , la blessure restera. Une blessure verbale fait aussi mal qu'une blessure physique.
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la mort du "CHE"
25/06/2005 00:32
Le "Che" GUEVARA a préféré tomber l'arme à la main plutôt que vivre à genou, dans la honte, le déshonneur et la sujétion.
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Béjaïa
25/06/2005 00:41
La capitale de la petite kabylie
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Lounès Matoub
25/06/2005 14:35
pour visiter son site cliquez sur ce lien >> www.matoub.net <<
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L'algérie berbère
25/06/2005 15:10
Merci L. pour cette image
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GFX Beta
26/06/2005 16:22
MK
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Slimane Azem
26/06/2005 19:42
Slimane Azem est véritablement un symbole à la fois de l'exil au sens politique et de l'exilé au sens de l'émigré.
Il vivra exilé de son pays et mourra en exilé le 28 janvier 1983 à Moissac (tarn et garonne) et restera enterré à ce jour en France.
Algérie, mon beau pays Je t'aimerais jusqu'à la mort Loin de toi, moi je veillis Rien empêche que je t'adore Avec tes sites ensoleillés Tes montagnes et tes décors Jamais je ne t'oublierais Quelque soit mon triste sort
Je me rappelle cette nuit d'orage Entouré de mon père et de ma mère En exil dès mon jeune âge J'ai préparé mes affaires Pour mon premier voyage M'exiler au-dela des mers Pour moi ce paysage Est le préféré de la Terre
Seul, je me parle à moi-même J'ai failli à mon devoir J'ai mené une vie de bohème Et vécu dans le cauchemar Quand je chante ce poème Je retrouve tout mon éspoir
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